Le coup de l'étrier, c'est le verre que buvait le cavalier avant de repartir de la halte faite à l'auberge ; on dit que l'expression provient de ce que l'aubergiste faisait mine de trinquer en frappant l'étrier avec sa cruche. Cette scénette est librement inspirée d'un dessin du peintre Meissonnier (1815-1891) et réalisée à partir de pièces détachées "Historex" très transformées. Les plumets des chapeaux sont des plumes de perruches et les queues des chevaux de la ficelle détorsadée. Le couple d'aubergistes provient de la pochette "académies" (corps nus) de la même marque, habillés de pâte Milliput. Les verres ont été façonnés dans des chutes de plastique transparent (carotte de démoulage de pare-brise de maquette d'automobile).

Le décor consiste en un puits de la marque Verlinden agrémenté d'un seau et d'une brouette Historex. Sur le sol, ont été collées de minuscules feuilles mortes découpées une à une dans du papier peint aux couleurs automnales...